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Quand éclatent les bourgeons !
Auteure : Marie-Antoinette VENET Quand éclatent les bourgeons, Quand reverdissent les frondaisons, Le ruisseau miroite en chantant Pour annoncer le PRINTEMPS ! Quand le petit enfant est né, Ouvrant ses yeux étonnés, À sa maman en souriant Il est l'image du PRINTEMPS. Quand la prairie sent bon le foin, Des enfants chantent un refrain. La nuit est belle et étoilée C'est alors ! qu'arrive l'ÉTE. La jeune femme épanouie A…
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Mon petit cheval
Auteure : Marie-Antoinette VENET TARZAN ! c'était un poney formidable. Il était le roi dans son petit pré. Il marchait d'un pas vénérable. Il hennissait bruyamment pour se faire écouter. Chaque matin, quand il nous voyait, Il venait vers nous, quémandant gentiment Un sucre, une poignée d'orge ! alors, il hennissait De satisfaction, de joie et de contentement. Il est résté tout un été près de nous. Je l'aimais bien…
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Le 14 juillet
Auteure : Marie-Antoinette VENET Voilà que déjà les jours raccourcissent, Le blé a muri et ses épis d'or Ondulent au vent, avant que s'accomplisse, En moins d'une heure, le travail du moissonneur. La machine passe, monstre d'acier, Qui coupe, lie, extrait le grain doré. Les petits oiseaux ne trouvent rien dans les champs En laissant des regrets des moissons d'antan. Le rythme des saisons est inchangé. Le blé lève au…
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La nuit
Auteure : Marie-Antoinette VENET La nuit étend son voile, Le silence bientôt s'installe. Dans le firmament où brillent les étoiles Apparait soudain la lune toute pâle. La chouette chasse rats et mulots, Le crapaud fait entendre se mélopée, Le rossignol chante en rémolo Le ver êuisant brille dans le fossé. La nature se repose et s'endort, La chauve-souris évolue, silencieuse. Un lapin, de son terrier, sort, Gambade dans la clairière…
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J’écoute
Auteure : Marie-Antoinette VENET J'écoute le vent, qui hurle sa colère. La forêt gémit, implorant sa pitié De ne pas dépouiller sa parure dorée, Mais il en fait fi ! les animaux se terrent. Il hurle, tempête, grince, secoue. C'est bien fini de rire, vous allez un peu voir Comment je brise, arrache, jette dans la boue Les feuillages dorés. Je m'amuse de tout. Au jardin, il a tout saccagé.…
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Une histoire, un conte de Marie Antoinette Venet.
Une histoire au près du feu Il était une fois, Malgré la fatigue, nos jeunes amis, épuisés, marchaient vaillamment. Ludovic, qui n’était pas habitué à ce genre d’exercice, n’en pouvait plus ; ce fut Anselme qui le jucha sur son dos. Notre petite troupe arriva au village juste quand sonnait l’angélus au clocher. Pierre dit alors “Venez à la Cure, un prêtre nous aidera. ” Ce qui fut fait prestement.…
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Complainte de l’ouvrier.
Les Poésies de Mamie Chazelles Publié le : Le poème Laisse moi rêver ! je veux oublier Oublier, le temps, les jours moroses La nuit m’appartient, le jour m’est volé Pour un ouvier, il n’y a de pause Samedi et dimanche si vite passé Mais cinq jour de labeur écrasant Et pour ce travail si mal payé Le simg et la prime de rendement Plus vite, mon ami en une…
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Écrire
Une poésie La poésie s’intitule, Écrire ! Écrire ! c’est libérer son cœur ! C’est traduire par quelques lignes Son chagrin, sa joie, son bonheur C’est savoir se montrer digne … Écrire ! c’est manisfester fortement C’est imprimer dans le temps Sa révolte, et sa rancune Essayer de combler les lacunes Écrire ! c’est essayer de voir Tout au fond de soi en silence C’est parler à l’étoile du soir…
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Les grenouilles
Je ne pouvais pas passer à côté de cette épisode de mes plus beaux souvenirs d’enfant et de mon papa. Nos vacances étaient sur le point de se terminer. Tout le monde avait soigneusement rangés ses petites affaires, et il était à présent temps de remonter dans notre département. Et oui, lorsque mes oncles et ma famille étions en vacances aux Cabanes fleuries, le convoi de caravanes avait l’habitude de…
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Mon trip à moi
Il faut bien y mettre un titre ! 2023-09-04 Mon “trip” à moi. Oui, être dans “son trip”, vous l’avourez, c’est plutôt sympathique ! Avoir un modeste blogspot “Whaou ! Ça claque !” pour s’exprimer, tout en sachant que personnes ne viendra vous reprocher et venir vous emmerder. Mais, revenons à nos moutons ! Je disais donc, pouvoir s’exprimer. À ton le droit d’écrire, où bien encore de rêver ?…
